Découvrir les artistes accueillis …

Willy Bihoreau

Sa peinture fusionne techniques contemporaines (compositing, 3D, digital painting) avec les méthodes picturales traditionnelles (pinceaux, acrylique). Des représentations qui questionnent le lien passé-présent et futur.

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Le spectateur est embarqué dans un monde inquiétant de créatures et paysages post-fin du monde. Les symboles et architectures ne sont plus que les vestiges d’une époque révolue… le début d’une nouvelle ère dont l’humain ne semble plus faire partie.
Peindre ce futur aussi pessimiste que lucide c’est pour mieux exorciser la peur de son imminence. Car jamais auparavant notre avenir n’a été plus sombre et incertain.
« L’absurdité de notre époque tend à prouver que l’être humain est encore bien trop primaire pour mériter sa survie ».

Ulrike Bolenz

Dans l’œuvre d’Ulrike Bolenz, la condition humaine occupe une place centrale. Même si au premier abord, ses personnages expriment un certain déchirement, un certain désespoir, ils sont forts, orgueilleux et regardent vers l’avant.

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Depuis 1995, Ulrike Bolenz est l’une des pionnières de l’art « photoplastique », qui utilise la photographie sans cesse retouchée sur des matériaux transparents tels que le plexiglas et le polycarbonate.
Le résultat est une symbiose unique de photographie, de sculpture transparente et de peinture.
En utilisant et en transformant des médias numériques, elle crée des œuvres multicouches dans lesquelles elle explore les problèmes actuels de la société.
(Extrait du catalogue de Husk Gallery)

Olivier de Cayron

Artiste plasticien autodidacte, il vit et travaille à Cachan. Dans son œuvre, la combinaison de la photographie, des réalisations numériques, des nouvelles technologies et du microperforé stimule la participation visuelle du spectateur...

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Depuis le tout début des années 2000, Olivier de Cayron approfondit une démarche qui mêle séquençage des images et utilisation du micro-perforé (trame industrielle), du plexiglas et de l’entretoise, avant de décaler le micro-perforé de l’image initiale, pour créer une vibration visuelle indispensable à la recherche d’œuvres évolutives. Par le recours à la superposition de matériaux discontinus l’artiste masque autant qu’il dévoile. Trame, morcellement, filtre, dispersion, déviation : la linéarité du regard est ainsi sans cesse remise en cause.

Maria Deulina

Née à Moscou dans une famille d’architecte et de professeur de design, elle choisit le même chemin. Diplômée de l’Académie d’architecture de Moscou, elle a contribué à l’embellissement architectural de Moscou.

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Installée depuis quelques années au Mans, elle travaille comme graphiste, et poursuit en parallèle sa passion pour la peinture en réalisant des collages numériques.
C’est un lançant le projet MARIA DEULINA UPGRADE qui consiste à réactualiser d’authentiques œuvres du XIXe siècle qu’elle exprime pleinement sa passion pour l’anachronisme, son humour et l’admiration pour l’histoire de la France.
Maria trouve son inspiration dans le mélange subtil des clichés modernes, et celui de la rigueur des grands peintres portraitistes d’autrefois.

Nicolas Drouet

Pour comprendre la création de Nicolas Drouet, il faut d’abord connaître l’homme et sa destinée réellement exceptionnelle. Nicolas est le condensé d’une lignée de bijoutier, joaillier, horloger, menuisier et ébéniste.

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Passionné par le religieux il sculpte dans une pierre à huit ans une vanité et il se passionne pour les sciences naturelles. À 10 ans, il crée ses premières collections de bijoux, puis se trouve parachuté à 16 ans à l’école Boulle puis à la Haute École de Joaillerie. Sa persévérance l’amène place Vendôme où il travaille pour Alexandre Reza, Boucheron, Graff, le sultan de Brunei…
Il retrouve aujourd’hui le goût de ses premières madeleines en revisitant les cabinets de curiosités du XVIIe siècle inspirés des effets décoratifs de la cour de Dresde au temps de Frédéric Auguste de Saxe.

Raoul Scipioni

Dans sa série "Corps habités", Raoul Scipioni organise la rencontre improbable du corps humain avec l'architecture, entre ombre et lumière, pleins et déliés. 4 huiles sur toiles qui rendent hommage à quatre architectes bâtisseurs et visionnaires.

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• Frau Hundertwasser… du nom de l’architecte et artiste autrichien Friedensreich Hundertwasser, à l’oeuvre monumentale en harmonie avec la nature.
• Senor Gaudi … un buste autour de l’architecture catalane d’Antoni Gaudi,et des structures organiques des immeubles de Barcelone.
• Mademoiselle Aillaud … à partir de l’ensemble des tours HLM «nuages » situées à Nanterre, et imaginées par l’architecte français Emile Aillaud entre 1973 et 1981 .
• Mister Frank Lloyd-Wright … ou comment conjuguer le David de Michel-Ange avec ses réalisations de la première moitié du XXeme siècle hors normes et monumentales.

Max Foggéa

Son expérience picturale et ses expérimentations photographiques lui permettent de fragmenter sa plastique.  Ses différentes séquences se juxtaposent et laissent apparaitre des plans successifs.

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Max Foggéa travaille le collage, la photographie, le plexiglas, tous matériaux utiles à l’élaboration de ses œuvres presque sculpturales, afin d’élaborer différentes séquences, paliers ou fonds qui se répondent. Le sens est ainsi porté, véhiculant l’œil dans de nombreux interstices.Attaché depuis toujours au travail des portraits, ils les transfigurent, les dématérialisent. Son jeu entre transparence et lumière réincarne les visages. La chair est à nouveau présente, véhiculant émotions et ressenti.Le regardeur, comme dans toute œuvre Optical Art est invité à faire un chemin vers l’œuvre et à l’intérieur. Le portrait est propice à l’effet miroir. L’œuvre de Max Foggéa nous permet d’apprendre sur l’humanité, sur nous- même.

Marie-Chistine Jaladon

Cela commence par la rencontre de l’eau et du papier... creux, bosses, tensions, l’eau ne se contrôle pas. De ce procédé hasardeux résulte surprises et accidents.

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Ce premier geste à l’issue aléatoire confère à la création de l’innocence. Ensuite, l’incertain est structuré par l’investissement de l’accident : collages, grattages, vernissages, râpages, encrages et coloriages… Cette technique mixte d’ajouts et de retraits questionne le subjectif.
Son travail, dialogue de l’aléatoire et de l’artificiel, doit se lire comme un point d’interrogation.
« Ici ou là, chemin ou paysage un monde en attente du libre regardeur. Sans titre, pas d’indication de réponse. Rien d’imposé …seulement proposé.
Une errance, une rêverie, un questionnement.

Daniel Lagoutte

"Combien de tableaux ont été détruits pour des raisons diverses ? Pour ma part, j’ai eu hâte de restituer en leur état des œuvres dont l'absence m'a si cruellement manqué..."

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Daniel Lagoutte est historien d’art, conférencier et artiste peintre. Il a consacré sa vie à restituer, au plus près de leur état originel, des toiles de maîtres à jamais disparues : Jacques-Louis David, Gustav Klimt, Henri Matisse, Kazimir Malevitch, Otto Dix… Vingt siècles de tableaux ressuscités.
Pour opérer une telle résurrection, il lui a fallu travailler en artiste, mais aussi en historien et en détective. A partir d’une patiente recherche documentaire, il tente de recréer, de recomposer, de reconstituer ces œuvres en leur redonnant une présence matérielle qui nous interpelle à travers le temps.

Éric Lesigne

Après trois décennies dans la mode et la décoration d'intérieur en France et aux USA, Éric Lesigne travaille comme artiste numérique, en direction de l'abstraction des formes et des couleurs.

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Une technique artistique qui lui permet d’exprimer son intérêt pour l’abstraction des formes et des couleurs mais aussi la possibilité d’affirmer ses idées sur l’infini de l’expression et sur l’éveil de la conscience.
Sa conviction à ce sujet est sans limite…

En 2021, cette pensée philosophique dans l’art abstrait lui permet de devenir l’un des membres français du mouvement le Sciarcisme fondé par l’artiste russe Sergey Dozhd.

Marie-Laure Mallet-Melchior

Depuis une quinzaine d’années, Marie-Laure Mallet-Melchior tire parti des possibilités de la photographie numérique pour transfigurer les espaces urbains en créant des univers surréels.

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La transfiguration s’opère par l’hybridation de plusieurs techniques dans un enchaînement d’assemblages, montages, transferts… mêlant la peinture à la gravure du métal, ici l’aluminium comme support, qui fait vibrer et réfléchir la lumière. L’artiste a renforcé cette vibration en superposant les plans (fond en aluminium, entretoise, plexiglass) dont les perspectives juxtaposées troublent le regard, entrainent dans la profondeur et le mouvement.
Le regard est ainsi conduit à passer du fond au premier plan ou inversement pour appréhender l’image et tenter de lui donner une homogénéité. C’est en se déplaçant devant l’œuvre que le spectateur ajuste sa focale et s’approprie l’image.

Rémy Le Guillerm

Si la galerie MixtaMediart met en avant le travail du dessinateur, Rémy Le Guillerm est un artiste protéiforme dont la fulgurance s'exerce aussi bien dans la peinture, la sculpture et la photographie.

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Dessinateur, Rémy Le Guillerm s’inscrit dans un néo-classicisme revisité qui alterne à l’envie le macabre et l’ironie décalée, sans jamais perdre le sens de la mise en scène, toujours magistrale et d’une hallucinante précision.
Photographe, il projette d’étranges créations-images, décalées, transgressives, délurées sinon un tantinet blasphématoires en maître de l’attrape-regard et d’un humour glacé.
Sculpteur, il tranche le marbre comme au scalpel dans un dépouillement aigu porté vers les hauteurs où l’on peut voir de foudroyants totems.
Il est aussi auteur du concept des « MONUMENTOILES », rassemblant près de 200 artistes investis dans des expositions d’extérieur en très grand format partout où on les appelle sous la forme de galeries d’art à ciel ouvert et ouvertes à tous.

Nicolas Boutruche

Photographe et réalisateur, Nicolas Boutruche endosse volontiers divers costumes d'artiste, à la fois prolifique et expérimentateur, partagé entre commandes institutionnelles et recherches personnelles.

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Ainsi, après sa série « Apesanteur », puis sa série « Réalité Augmentée », il travaille aujourdhui à une série « Voyeurisme au 1/10e ».
En parallèle, créateur concepteur infatigable, Nicolas Boutruche est aussi impliqué quans la post-production et la réalisation de films, passant allègrement du monde de la communication à des clips et des fictions toute personnelles.

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MixtaMédiart Gallery

4 rue du Vert Galant 72000 Le Mans